vendredi 24 décembre 2010

Mange-disque.

C'est un peu l'idée que j'me fais de moi-même. J'suis plus précisément une mangeuse de musique, les disques se font de plus en plus rares chez moi.
Mais l'idée est là, je suis une mangeuse de musique.

J'ai besoin de la musique, elle est une partie intégrante de ma vie, pas une journée sans, ne serait-ce que pour me réveiller et bien commencer la journée. Perso, si on m'enlève la musique c'est comme si on m'enlevait un bras.

D'ailleurs, en écrivant cet article, j'suis en train de me poser une question pas si conne mais où le choix s'avère être une lourde perte dans tous les cas: si je devais choisir en être sourde ou aveugle, je prendrais quoi?

Parce que oui, j'suis une mange-musique mais j'suis aussi très cinéphile. UN partout.
Cependant, quand on y pense, un film sans son (on enlève aussi les sous-tritages parce que sinon on ne s'en sort pas) tout de suite, c'est moins percutant. Ok, tu peux toujours matter Jude Law (sans baver hein!) mais bon au-delà de ça.. bof quoi.
Alors qu'un film, si t'enlèves l'image mais que tu gardes le son, je persiste à croire qu'il aura autant d'impact que si tu possédais tous tes sens. Les images, tu peux toujours te les fabriquer, tu peux très bien imaginer que Jude Law TE chuchotte au creux de l'oreille de sa voix suave un chaud "I want you" (là, tu peux baver).

J'ai de l'imagination, alors j'me dis qu'être aveugle, même si c'est un sort cruel, j'pourrais m'en sortir. +1 pour l'ouïe.

Et puis là, j'essaye me m'imaginer la vie si j'étais sourde. Tout de suite, j'ai envie de me tirer une balle.
C'est tout simplement impossible pour moi. La musique véhicule tellement de choses, elle peut avoir tellement d'impacts différents sur moi que j'me dis que  j'ai besoin d'elle pour vivre et me sentir en vie.
Là, c'est clair, je choisis le son. J'pourrais au moins avoir la BO de ma vie et m'imaginer le film.

La mange-musique que je suis a perpétuellement faim de nouveautés, comme je l'ai évoqué dans le post où je remercie tendrement le Social Club pour me faire vibrer comme il le fait.
Et parce que j'ai besoin de nouveautés, même si j'ai tendance à poster majoritairement des sons électro, je ne suis pas du genre à m'enfermer dans un style, j'écoute de tout, simplement en ce moment j'suis plutôt électro.
Mais parfois, j'ai l'impression de traverser un désert, là, imaginez-vous traverser vraiment un désert.. le vent qui vous siffle dans  les oreilles (un  peu comme le moment ultime dans les westerns où les cowboys se défient à qui dégainera le premier.. ouais,  le vent qui siffle avec la boule de paille qui roule)... C'est chiant hein?
Bah c'est parfois ce que je ressens quand j'ai fait tourner, tourner, tourner et encore tourner la même playlist parce que certes, j'ai mes chansons préférées mais parfois, je finis quand même pas m'en lasser (mais ce n'est que pour mieux les retrouver plus tard).
J'ai pas simplement besoin de musique, j'ai besoin de nouveauté(s).

Et dernièrement, niveau nouveautés, j'ai été servie, très bien servie. En fait, je dirais même que 2010 est une bonne cuvée.
Ce serait bien trop long que de vous dressez une liste d'artistes qui m'ont marqué cette année, qu'il s'agissent de découvertes ou d'artistes que je connaissais déjà et qui ont sorti des bombes.

J'vais simplement m'attarder sur Brodinski,  parce qu'initialement, cet article est pour vous présenter la dernière tuerie qu'il vient de sortir.
En effet, 2010 a était une année plus que savoureuse du côté de Brodinski. Il serait même presque de bon ton de faire un article élogieux à son égard puisque j'en parle si souvent.
Brodinski pour moi, c'est le BIG CRUSH MUSICAL.

D'ailleurs j'essaye de me rappeler comment j'lai découvert.. mais impossible, aucune idée.

Bref, Brodinski est un maître, un vrai. Le genre de mec qui a tout pour lui, le talent, les honneurs, il a l'air plutôt sympa genre t'aimerais bien que ce soit ton pote et cerise sur le gâteau, comme si ça suffisait pas, il est beau garçon.
En définitive, il pourrait presque te foutre la rage parce qu'il a tout mais j'suis pas du genre jalouse.
A 23 ans, la réputation de cette pépite musicale n'est déjà plus à faire.

Bref, cette année, en plus de se produire mondialement, souvent aux côtés des plus grands, Brodinski a sorti des bombes, comme s'il ne savait faire que ça. Ses EP sont aussi fous que ses remixes à l'instar de ses DJ sets qui te retournent littéralement le cerveau (genre c'est la fête dans ta tête, tu bouges, tu kiffes, t'en redemandes) et quand il décide de faire une compil' genre "je regroupe le best du best" bah tes oreilles sautent de joie.
C'est ce qu'il s'est passé quand il y a quelques mois, Brodinski a sorti Best Of Everything.
BEST OF EVERYTHING ou comment te faire oublier tout un désert musical (cf. le vent qui souffle dans tes oreilles).
Best Of Everything, deux mixtapes qui ont rendu ma vie plus belle (encore aujourd'hui) et les longs trajets plus supportables (à la limite pour savourer BOE en entier, t'aimerais presque qu'il y ait des embouteillages).
BOE, c'est à la fois "The Electro Side" et "The Hip Hop Side" (en collaboration avec DJ Orgasmic).

BOE, côté pile:

BEST OF EVERYTHING - 'The Electro Side' by BRODINSKI by brodinski-boe



BOE, côté face:

BEST OF EVERYTHING - 'The Hip Hop Side' by BRODINSKI & DJ ORGASMIC by brodinski-boe


Et puis comme si Brodinski ne nous avait pas encore assez gâté comme ça, ce coquin nous a fait un dernier cadeau, genre Noël avant l'heure et histoire de finir l'année 2010 en beauté (oh et puis tiens, 2010, je t'aime):
BOE Volume 2. BIM!

Prends-toi donc cette dernière bombe dans la tronche (tu ne peux qu'aimer ça):

ICI pour l'écouter

ICI pour le télécharger GRATIS MON AMI

Brodinski, tu rends mes oreilles heureuses, alors MERCI.

lundi 20 décembre 2010

Les pellicules du ciel.

Comprenez, la neige, oui encore elle.

Parfois, quand je regarde la neige tomber, que les flocons sont bien gros, que je suis bien énervée (parce que oui, forcément, la neige à Paris, c'est PAS indispensable), j'me dit que c'est pas possible, y'a un connard en haut, qui a clairement un problème capillaire, qui est en train de se secouer les cheveux.

Ah oui, bien entendu, quand on parle de neige, certains prennent le parti pris de "la magie de Noël".. Je ne suis pas de ceux-là (du moins, pas aujourd'hui).

La neige parisienne n'a rien de magique, même si j'avoue, les arbres avec les branches chargées de poudreuse, c'est joli.


Paris.fr

La neige parisienne, c'est pas blanc, c'est gris (voire noire après quelques heures).
La neige parisienne, sur les trottoirs, c'est traitre mais elle a au moins l'avantage de muscler puisqu'on s'engage dans une lutte acharnée contre l'impitoyable loi de la gravité, jusqu'à aujourd'hui, j'men sors TRES bien.
J'ai d'ailleurs une pensée pour tous ceux qui ne s'en sont pas sortis aussi bien que moi..


Leparisien.fr
 
Ce matin, ma soeur me réveille limite en panique pour me balancer à la face, telle une enfant de 5 ans, je cite: "Heyyy, y'a au moins 15 centimètres de neige dehors!".
Bien évidemment, ma soeur ne savait pas que je n'avais pas encore entamé ma cinquième heure de sommeil (détail qui a son importance).

Une fois violemment réveillée, j'étais loin d'être aux anges, j'crois même que le premier mot qui est sorti de ma bouche ce matin c'était un joli "putain" dans un soupir de désespoir parce qu'à vrai dire, j'étais en train de penser à la journée que je m'étais programmée.

D'ailleurs, je tiens à dire (c'est le post coup de gueule sans vraiment l'être) que Météo France nous ment ou alors elle se fout de notre gueule ou, autre solution, son matos n'est vraiment plus du tout au point.
Ok, je veux bien admettre que Mère Nature fait ce qu'elle veut  mais quand même..
Je check juste avant de me coucher (soit donc, pas tout à fait 5 heures avant la violente annonce matinale) la météo.. "précipitations par intermittence dans la journée".
On est d'accord, "précipitations" c'est de la pluie?
GROSSE marge entre "précipitations par intermittence" et 15 centimètres de neige en moins de 5 heures.

Bref, mon programme, c'était les courses de Noël. Ok, je m'y prends au dernier moment mais là, avec la neige, découragement (presque) total. Point l'envie de mettre le nez dehors, mais il le faut, alors j'le fais.
Je marche comme je peux, en ayant le moins possible l'air d'un manchot.
Les trottoirs glissent sacrément et puis par petites touches, par-ci par-là, tel un miracle, on trouve une zone d'environ 1m2 recouverte de sable (on embrasserait presque celui qui l'a mis).

Et puis finalement, la neige s'est mise à fondre. J'me suis surprise à lever la tête en direction du ciel et en pensant très fort "merci Mère Nature".
Certes la neige m'a découragé à poursuivre mes achats (un magasin fait seulement et après direction Starbucks) mais certains sont biens plus mal lotis que moi.
Je pense notamment à ceux qui doivent voyager, que ce soit en voiture, en train ou en avion. La neige, excepté sur les pistes, n'est que chaos.

Je retente demain la poursuite des courses de Noël, je dois aussi affronter la foule qui gonfle tous les rayons des grands magasins, ça aussi ça a tendance à entamer sévèrement ma motivation mais là j'ai franchement plus le choix, J-4 quand même.

Mais n'allez donc pas croire que j'ai la neige en horreur, je déteste seulement celle qui est à Paris, bon ok.. si je réduis vraiment à l'essentiel, je déteste seulement  la neige des trottoirs parisiens.
Preuve de ma tendresse pour la neige: je pars au ski vendredi (là, je souris).

Pour remédier aux méfaits émotionnels que la neige parisienne peut avoir sur moi, voici donc un échantillon de ma playlist de survie:











mercredi 15 décembre 2010

Baby, baby, baby..

Baby, baby, baby...

Si j'avais eu la logique d'une gamine de 12 ans, j'aurais logiquement finie cette "phrase" par "OH WHY?" parce que je serais trop amoureuse de Justin Bieber.
Mais, je n'ai pas la logique d'une gamine de 12 ans alors je ne le ferai pas.

Mais au fait pourquoi je connais la suite "logique" du refrain de Justin (si vous le prononcer en français, ça rime, j'trouve ça pas mal)? 
J'me le demande bien parce que je précise, je ne l'écoute évidemment jamais, qu'il ne figure sur aucune de mes playlists et qu'aussi loin que je m'en souvienne je ne l'ai jamais entendu à la radio.. Le voir une fois en "live" au Grand Journal ça compte pas, on entendait juste les freaky-pupute-girl fans crier à s'en saigner les cordes vocales à vie.

Mais passons, Justin mue, il est sur le déclin (même s'il ne le sait pas encore) mais puisque je ne souhaite de mal à personne dans l'histoire, j'espère que dans 10 ans (vous avez même le droit de retirer 9 ans au délai précité), il me prouvera que j'ai tort. Chiche.

Mais je préfère quand même parler de son sacre initial au passé: Justin était une baby star.

Pas encore tout à fait dégagé du podium qu'il y a déjà la relève.

La relève s'appelle Willow Smith et elle a 10 ans.

Pour le "Willow", j'ai tout de suite penser à la sorcière lesbienne (cf. Buffy contre les vampires, LA série de mon époque collège, Angel, lui c'était un vrai vampire).
Pour le Smith, je n'ai pensé à rien, la SUR  promo était déjà faite avant même que je n'ai eu le temps de le faire. Cette enfant a pour parents, Will Smith et Jada Pinkett, on ne parlera pas évidemment pas de piston.

Bref, Willow Smith, c'est le phénomène du moment.

A vrai dire, je m'interroge pas mal à son sujet  parce que mine de rien, un phénomène comme ça, ça fait réfléchir.

Willow m'a fait prendre un coup de vieux en une seconde. La gamine a 10 ans, elle assure comme une pro et elle est limite lookée plus que toi.
Oui, je dis "limite" parce qu'on donne pas dans le même style et que perso, sans prétention, je pense me débruiller de manière plus qu'honorable dans le style simple-passe-partout-le-gris-est-mon-ami qui est le mien.
Oui, Willow, je dois t'avouer, parfois, je ne comprend pas tes choix.


J'la vois, j'essaye de ne pas oublier qu'elle a SEULEMENT 10 ans et par analogie je fais un flash-back jusqu'à  mes propres 10 ans... Et là, j'me dis que putain, WTF?
A dix ans sans déconner,  j'étais encore un bébé. La salopette,  les kickers, les pogs (les POGS), les images Panini (pour maintenant, j'ai juste à enlever le mot "image" devant Panini).
Et  là, je vois cet O.V.N.I sorti tout droit d'Hollywood, j'me  prends clairement une claque.

Si a 16 ans pour Justin c'est cuit, moi à 22, j'suis définitivement foutue.
Relativisons: Justin a les  moyens de vivre tranquille sur plusieurs générations et moi, j'ai pas l'intention (pour le bien de tous) de faire carrière dans la chanson.

Mais bon fichu coup de vieux quand même avec cette prise de conscience (l'anti-rides, j'attends encore 2 ou 3 ans) ou alors j'suis la seule à penser que les générations sont toujours plus en avance sur leur âge..
Là, j'suis en train de penser que j'ai récemment assisté à une sortie de collège, disons que c'était anthrologiquement intéressant: les gamines ont 13 ans et l'attitude poufiasse déjà bien maîtrisée, le petit sac à main (moche mais sac à main quand même), le maquillage très lourd genre influence Tokyo Hotel (alors que rappelons le, leur chanteur est un mec mais bon..).

J'ai forcément encore procédé par analogie + flash-back et définitivement l'époque n'était pas la même: au collège, je trainais mes baskets plus que limées (sisi époque Nike Air Max), mon sac à dos sur les fesses et un trait de crayon Khôl que je mettais en cachette aux toilettes et bien sûr j'étais dans la norme.


Et puis maintenant, c'est l'époque Baby, baby, baby (j'suis sûre qu'en le lisant vous êtes en train de le chanter) où les enfants qui ne sont pas encore des ados te clouent le bec en arborant une assurance plus qu'insolente qui te mettrait au tapis une Zahia (autre sujet sociologique fort intéressant).

Mais en même temps, leur assurance n'est pas inutile ni en désaccord avec ce qu'ils sont et ce qu'ils font.
Willow est la fille des Smith, la gamine briefée, avenir tout tracé et sans nuage, j'ai envie de dire que son assurance on sait d'où elle vient (et puis, elle doit bien avoir aussi le soutien psychologique de sa si grande famille qu'est la famille des scientologues).
Et Willow est plutôt douée. Son titre sonne plutôt bien (je ne déteste pas), c'est un succès monstrueux. D'ailleurs, à la première écoute, j'me suis demandée si ce n'était pas encore un énième tube de Rihanna.



Willow Smith - Whip My Hair Clip HD Official (High Quality)
envoyé par 123jeunesse. - Regardez la dernière sélection musicale.

dimanche 12 décembre 2010

Social Club, je t'aime.

Le Social, c'est un peu mon partenaire de "soirées réussies". Ok, je triche un peu parce que je sélectionne, je matte la programmation, je vois quelqu'un qui me plait, j'y vais.

Mais je ne suis pas non plus hostile à la nouveauté, bien au contraire, élargir mes connaissances et découvertes musicales sont des choses fondamentales dans ma vie.
J'suis pas franchement du genre à me cantonner aux artistes que je connais et que j'aime, même si je dois avouer que je fonctionne un peu par phases.
Explication: pendant un certain laps de temps (variable), je peux me mettre à écouter frénétiquement la même playlist encore et encore sans m'en lasser. Et puis j'vais tomber sur une autre chanson, une nouvelle, et là, mon cycle "playlist en boucle" se fracasse un peu. J'introduis mes nouveaux titres, je fais grossir la playlist.

[BTW, je tiens à remercier du plus profond de mon coeur le mode "Shuffle" pour me faire redécouvrir des titres tant aimés pourtant tombés aux oubliettes.]

Mais globalement, j'aime la nouveauté (en même temps, qui n'aime pas ça?), j'y suis même accro.
En fait, quand je m'apprête à découvrir un nouvel artiste, j'me dis dans ma tête "lui, c'est un big crush potentiel".
Alors pour en revenir au Social, puisque c'est le thème de l'article, grâce à leur programmation souvent pointue mais globablement très ouverte (j'me contredis mais c'est pas grave), et bah mes besoins en découverte musicale sont plutôt satisfaits.

Le Social éveille ma curiosité en fait.

Quand je vois une soirée qui me dit bien (non, je ne me fis pas au flyer mais plutôt au line-up), en général, je connais pas tous les artistes qui y figurent.
Alors ni une ni deux, grâce à la plate-forme 2.0 dont notre génération bénéficie, je pars à la découverte des inconnus en question, avec dans ma tête, ne l'oublions pas "lui, c'est un big crush potentiel".
Et parfois, les inconnus s'avèrent être des "big crush", des vrais (+1 pour mon enrichissement musical).
Alors rien que pour ça, Social Club, un grand merci (Social Club, je t'aime n°1).

Et puis, dans une autre variante, pas tout à fait en rupture avec le thème de l'article, il y a des artistes qui sont généreux, très généreux.
Là, j'vais prendre l'exemple de Brodinski (oui encore), grâce à sa générosité et à son goût du partage, via sa page FB, j'ai découvert Gesaffelstein.
UNE REVELATION. THE big crush.
Quand j'ai vu que Brodinski, le mettait en avant, j'me suis dit, "tiens, ça donne quoi?". Bah, ça donne du lourd, du lourd, du lourd. Un big crush de chez big crush.

Gesaffelstein, dès le premier titre écouté est rentré direct dans mon top.
Voici un de ces titres faisant partie de son dernier EP. Je pourrais rajouter, que oui, c'est une tuerie, mais je ne pense pas avoir besoin de le préciser. Je n'ai d'ailleurs pas sélectionner ce titre par préférence mais juste parce qu'il faut bien en sélectionner un (quoique.. je pourrais tous les mettre en fait).




Bref, quand j'ai découvert Gesaffelstein, il y a de ça à peu près un  mois, j'me suis dit: "ok, il faut que j'le vois en live celui-là".
Quand j'aime un artiste, j'ai besoin de le voir en vrai, une façon de tester l'impact véritable qu'il peut avoir sur moi.
Je n'ai pas attendu longtemps avant que l'occasion se présente (Social Club, je t'aime n°2).

Alors que je suis sur le site du Social en quête d'une good night, je tombe en arrêt sur celle du 10 décembre.
A l'occasion du Festival Orange on Stage with (parteniariat avec Konbini), BRODINSKI RESIDENCY.



"BRODINSKI RESIDENCY", il n'en faut pas plus pour que je prenne ma prévente.
Vous n'êtes pas sans savoir combien j'aime ce mec, il est tellement doué, ses sets sont (toujours) déments. Dès qu'il mixe au Social, j'essaye d'être présente.

Je regarde quand même le line-up au passage (cf. l'enrichissement musical, le "Social Club, je t'aime n°1").
"Brodinski, Gesaffelstein, Panton, Egyptrixx & guests".
Déjà que la simple présence de Brodinski suffisait pour que je sois motivée mais si le Social rajoute Gesaffelstein, à savoir donc, mon dernier "big crush" musical, bah forcément, seule la mort pourrait m'empêcher d'aller à cette soirée (en gros hein) (Social Club, je t'aime n°3).

Nous sommes enfin le vendredi 10 décembre, je viens de passer une semaine affreuse (partiels blancs et interros salopes), toute la semaine je n'ai pensé qu'à la "BRODINSKI RESIDENCY", la récompense (pas franchement méritée).

Premiers pas dans le Social, y'a du monde mais personne ne danse (là, j'ai une pensée pour le DJ qui assurait la musique d'ambiance, parce que c'était quand même pas mal).

Et puis, d'un coup, tout change. Mouvement de foule. Tout le monde devant la scène.
MAIS WHY?
The Shoes, baby, THE SHOES. (Social Club, je t'aime n°4). L'heureuse surprise de la soirée.
Ma séance de rattrapage offerte puisque je n'avais pas pu aller les voir lors de leur concert au Nouveau Casino il y a de ça 3 semaines.
Et quel rattrapage... Une vraie claque.

La soirée commence décidément très bien, je sens déjà qu'elle va être au top avec ce qui nous attend.
Un live dingue, le truc qui te prépare sévère pour  la suite même si comme toute gourmande, j'en aurai voulu un peu plus.
Voici une de mes vidéos, courte et de qualité médiocre mais histoire de se rendre compte du truc, shootée plus pour le son qu'autre chose.



D'ailleurs tu te rends compte du sacrifice que représente la prise d'une vidéo dans des moments comme ça?
Parce que ouais, quand tu prends une vidéo, tu peux pas kiffer au  max, t'essayes de bouger le moins possible pour le cadrage ne soit pas plus que dégueulasse (FAIL) alors même que tes pieds ne tiennent pas en place.
Mais c'est un mal pour un bien puisqu'au final, quand c'est l'heure de les matter, c'est bonheur et joie dans mon coeur, revival good vibes.
Même si, je reconnais, la frustration est plus que grande quand elles s'arrêtent plein  milieu d'une track (essaye donc de rester les bras levés 15 minutes!).

Bref, The Shoes passent, je kiffe ma race. Compteur happy: très bon niveau.

Vient le tour de Gesaffelstein, finalement, peut-être celui que j'attendais le plus parce que je ne savais pas à quoi m'attendre.
"Big crush musical" se transforme en "big crush live".
Oui, Gessafelstein passe en live, j'ai donc le droit à tous les titres de son EP (et exclus à la clé), autant dire le live est juste dingue.VRAIMENT, dingue. Le genre de set qui te retourne la tête et transforme le dancefloor en vitrine de l'apocalypse.
Ce que fait Gesaffelstein est sombre et percutant, alors forcément, l'effet en live est là, j'ai le coeur qui vrille et l'âme qui plane.
Dès la première écoute de son EP, Variations,  il était déjà entré dans mon top mais là, après son live, il y est définitivement installé.

Voici encore une de mes vidéos, comme la précédente (et celle qui suivra), je l'ai shootée pour le son (scuze  le cadrage dégueulasse).


 Gesaffelstein, MERCI.

Et puis vient le tour de Brodinski. Sans surprise (dans le bon sens du terme).  Brodinski est une valeur sûre. Un set ultra maîtrisé dont on se délecte de chaque seconde.


J'ai un bon zoom et des grands bras.


Ma soirée s'est d'ailleurs terminée avec lui, enfin son set.
Sorry Egyptrixx mais après les 3 phénomènes précédents, et l'heure matinale bien avancée, plus le courage.

Voici un trop court extrait du set de Brodinski (de qualité égale aux précédentes vidéos of course):



Vous l'aurez compris, cette soirée était OVER THE TOP. 

Le line-up de cette fois-ci m'a fait passer une de mes meilleures soirées Social jusque-là (Social Club, je t'aime n°5).

Je remercie le Social de me faire vibrer comme il le fait si bien. Oui, SOCIAL CLUB, JE T'AIME.
Et naturellement, je remercie également, pour cette soirée, The Shoes, Gesaffelstein  Brodinski parce qu'ils ont été plus incroyables.
Le Social Club: 142 rue Montmartre 75002 Paris.
Et pour te tenir au courant de toutes leurs soirées à venir: http://parissocialclub.com/




PS: petite pensée à toi Raphaël, éxilé en Finlande (plus pour très longtemps), à qui j'ai fait découvrir Gesaffelstein. J'ai créé la frustration en toi en partageant sur ton mur FB le lien de la soirée. Line-up que tu as cruellement raté. Après voir lu ce post et vu les vidéos, je sais que cette frustration sera encore plus grande. Toi aussi je t'aime amigo. Reviens-vite putain, on s'en tape des ours polaires.

jeudi 9 décembre 2010

Douceurs d'hiver.

L'hiver, il fait froid (j'me répète là non?) alors mes habitudes changent un peu, histoire de m'adapter.
J'ai mes habitudes un peu "cocooning" mais surtout à facteur réconfort +++.
Non mais c'est vrai, c'est fou l'effet qu'un simple thé chaud peut me faire.. ok on replace ce thé à l'effet "fou" dans son contexte:
- Je viens de me taper 4h d'exam (exam blanc mais exam quand même parce que perso, j'vois pas la différence).
- Il neige (précisons qu'on est en Ile-de-France et qu'en Ile-de-France, la neige, c'est le drame ultime qui transforme un rien en chaos total).
- Je viens de braver héroïquement les trottoirs-patinoire-qui-te-donnent-l'air-d'un-manchot-tétanique, sans aucune chute au compteur (clap clap clap).
- J'arrive à la gare pour finalement constater (non pas avec étonnement mais plutôt amertume) qu'on supprime des trains.
Alors j'attends dans le froid (une gare chauffée ça n'existe pas hein?), LONGTEMPS, je crois avoir finalement un train quand.. il est supprimé seulement deux minutes avant son arrivée initialement programmée (espoir dans les chaussettes, froides les chaussettes of course).
LE train arrive (après 40 minutes d'attente et 4 doigts perdus parce qu'évidemment c'est LE jour où j'oublie de mettre mes moufles). Trajet sans encombre.
- Je brave encore une fois héroïquement le quai + le trottoir (je peaufine mon style).
- Plus de bus, évidemment. (Je tiens à remercier, du plus profond de mon coeur mon adorable soeur d'être venue à mon secours, la marche à pied jusqu'à la maison, c'est sûre, je n'aurais pas survécu).
- Pour la troisième fois, je brave héroïquement la fourbe neige-verglas-qui-veut-te-voir-par-terre, mon premier pas dans la maison, j'avoue, j'ai poussé un soupir de soulagement.

Une fois au chaud donc, premier réflexe: faire bouillir de l'eau (pas pour mon bain, pour mon thé hein!).
Voilà pourquoi ce thé, après cette aventure de haut vol pour juste rentrer chez moi, à un effet "fou" à facteur réconfort +++.



Mais bon, ça le thé, j'en bois toute l'année, certes ma consommation augmente largement quand les températures baissent, mais rien d'exceptionnel. Le thé reste une habitude de tous les jours (au même titre que pour les tisanes).

En hiver, j'ai donc d'autres douces habitudes, oui à facteur réconfort +++ mais  aussi à facteur calorique +++.. J'ai la chance d'avoir un poids plus ou  moins constant  qui me permet de me faire plaisir sans incidence significative sur la balance mais je dois avouer que faire une activité sportive régulière ne me ferait pas mal et puis c'est bon pour le système cardio-vasculaire (argument qui ne me convaincs guère mais j'trouve ça bien de préciser.. ahem ahem).

Bref, ne pensons pas aux choses qui fachent mais attachons-nous donc au facteur réconfort +++.
Comme je crois que j'aime bien faire des listes (avec au premier rang, celle de Noël), j'vais en faire une, ce sera plus simple.

Voici donc ma liste de douceurs d'hiver, à potentiel réconfort +++ comme vous l'aurez compris (pas d'ordre de préférence):

- Le panettone. Oui, la fameuse brioche italienne, traditionnelle de Noël.

Précisons qu'avant de la déguster, je la nappe soigneusement de Nutella, tant qu'à faire, autant y aller franco.

- Le chocolat chaud. Je l'assimile au choix, au petit-déjeuner du dimanche, où au goûter du dimanche, ou au goûter tardif du dimanche. Ouais, en fait, je l'assimile au dimanche quoi et puis il va vachement bien avec le panettone (au Nutella).


- Le café latte vanille. En théorie, celui du Starbucks. Un vrai délice. Et en faire n'importe quand, dès que j'en ai envie et bien j'ai acheté le sirop de vanille que vend Starbucks. J'ai mis du temps à trouver le bon café pour retrouver l'alliance parfaite qui te fait croire que tu bois celui concocter par un barista compétent. J'ai finalement adopter un décaféiné, au goût plus léger qu'un noir corsé et surtout ayant moins d'incidence sur mon cycle de sommeil (sachant que quand j'me mets à boire du café latte vanille, en général j'en prépare deux ou trois après le premier..).



- Et pour finir (the last but not the least): le roulé à  la cannelle connu aussi sous le nom de cinnamon roll. Encore une fois, ceux du Starbucks sont dingues (j'suis pas sponsorisée mais je devrais peut-être!), réchauffés 30 secondes et là je meurs de plaisir. La cannelle et moi, on est fusionnelles. Je l'aime sous toutes ses formes (tendre souvenir de la pomme découpée en quartiers, saupoudrées de cannelle et passée 1 minute au micro-ondes) mais particulièrement sous celle-là.
D'ailleurs, ces fameux cinnamon rolls se marient parfaitement avec le café latte vanille (comme par hasard). Alors les après-midi hivernales au Starbucks sont très douces (on n'oublie pas, le facteur réconfort+++).
Et puis j'aime tellement les roulés à la cannelle qu'il m'arrive d'aller chez Ikea rien que pour ça, mais ça j'le dis pas, j'fais genre "ouais, nan mais j'voulais une nouvelle parure de draps parce que j'en ai plus" (mensonge évident mais c'est pas grave). Alors oui, j'fais vite fait le tour d'Ikea.. ce n'est que pour mieux me rendre au Ikea Food. Là, je jette forcément mon dévolu sur ce sachet de roulés à la cannelle tellement déments qu'un paquet ne saurait me satisfaire entièrement (et se taper un tour d'Ikea, quand on sait combien c'est long, juste pour un paquet de roulés à la cannelle.. franchement, sacrilège non?).

Avec eux, réchauffés quelques secondes au micro-ondes, j'suis un peu la fille la plus heureuse du monde (j'exagère mais c'est pour montrer à quel point j'les aime). Petit-déjeuner + goûter, réconfort +++(+++++), forcément.

Bon, c'est pas tout, mais c'est l'heure de manger non?

Pour accompagner cet article tout en douceur:

vendredi 3 décembre 2010

Bien dans mon body.

Le body, par les temps qui courent, pour les frileuses, c'est l'astuce sexy. Oui sexy.
Le body revient sur le devant de la scène et se pare de dentelles et autres subtils détails.
En plus de nous offrir un décolleté des plus délicats (exit l'effet push-up), il nous protège du froid comme il est très près du corps (pas de courant d'air, c'est scientifique!), d'ailleurs, vu qu'il nous colle à la peau, autant taper dans la microfibre et autres matières extra-douces. Si on n'est pas super méga douillette de l'épiderme, alors on peut tenter le body total-dentelle, parce que même si c'est moins confortable qu'un body en satin bah c'est quand même vachement sexy, et ça, c'est pas négligeable.

Comme le body redevient à la mode, on a le droit à un florilège de belles nouveautés auxquelles j'ai bien du mal à résister. La lingerie c'est un peu mon point faible (au même titre que les chaussures, les sacs, les vêtements...). Je ferai un post spécial lingerie un peu plus tard. La star ici, c'est le body.

Alors voici une petite sélection pour celles qui n'ont pas peur de l'effet gratte-gratte-sur-ton-nombril (honnêtement, ça gratte pas tant que ça):



Erès

Princesse tam.tam

American Apparel

Pour celles qui veulent du confort ++ sans négliger la dentelle, on a l'option bi-matières:
Princesse tam.tam

Princesse tam.tam

Erès


 Asos

American Apparel

Princesse tam.tam

Princesse tam.tam (le même que le précédent mais porté il est encore plus joli)

Et pour celles qui veulent du confort +++, on a l'alternative du body sans dentelle (ce qui a priori passe mieux pour les tenues "jour"), dans des matières stretch très douces. On les dévoile plus aisément (porté avec une jupe taille haute par exemple ou un pantalon carotte):
American Apparel

American Apparel

American Apparel
Je constate au passage la pause très "naturelle" des mannequins chez American Apparel (cf. la cambrure de la dernière photo), j'ai été tenté de faire un best-of.



Et un dernier body en guise de bonus, un petit bijou coup de coeur pour les fêtes de chez Princesse tam.tam (oui encore) en plus d'être beau il porte un très joli nom: Pampille.

Princesse tam.tam

Tous les articles Princesse tam.tam et American Apparel sont dispo sur leur e-boutique:
E-boutique Princesse tam.tam (allez donc jeter un coup d'oeil, ce site regorge de trésors et il y a des promos pour les fêtes)

E-boutique American Apparel (un bon endroit pour les basiques)

Moi vouloir être chat.

Quand je vois la vie de mon chat (à vrai dire c'est une chatte mais ça peut paraître tendancieux quand le mot "chatte" dès la première phrase alors je préfère la masculiniser pour le coup), ça me laisse rêveuse.

C'est une princesse, une vraie (et pourtant, elle est loin d'avoir un pedigree).


My little lion

Nous, sa famille, on est comme ses sujets. Pendus, comme d'humbles serviteurs, au moindre de ses désirs (= miaulements).
Et ses désirs, la princesse sait les exprimer, très clairement.

Le miaulement, c'est son arme. Une arme psychologique.
 Elle nous a à l'usure rien qu'avec ça.
On dit des chats que ce sont des animaux sournois, c'est peut-être à cause de ça. En tout cas ça vaut pour la mienne parce qu'à part des miaulements qui vous ont à l'usure, elle n'a pas le coup de patte gratuit, c'est une boule de douceur, en tout point.
Je reconnais que ses miaulements peuvent être justifiés, c'est vrai, elle est glouton et c'est pour ça qu'on la rationne mais sans déconner, vous connaissez des chats qui miaulent, miaulent, miaulent et miaulent encore, de surcroît de plus en plus fort, pour réclamer une dose supplémentaire alors qu'ils n'ont pas encore digérer la précédente?
C'est à cause de ça que c'est une princesse, c'est parce qu'au fond, on fait tout ce qu'elle veut. Elle est douée et s'il  y avait que la bouffe ce serait trop simple.. elle miaule aussi pour sortir, rentrer, resortir, rerentrer,  pour se coucher sur vous (oui, elle impose une position adéquate pour SON bien-être).

Ces miaulements intempestifs sont certes,  son seul moyen de communication, mais ils vous tapent sur le système jusqu'à vous rendre dingue au point de penser "mais  putain pourquoi j'tai embarquer toi?!", phrase à laquelle la princesse pourrait vous répondre par un simple "parce que j'étais un chaton orphelin SDF (potentiel affectif cas soc' ++), que tu m'as touché une fois, que je t'ai suivi et qu'avec mes yeux humides t'as pas pu me laisser". Avec les chatons, on est foutu dès le départ.



Mais, franchement, ce chat est une crème, une vraie.
Elle a le poil aussi doux et duveteux que celui d'un lapin.


Elle s'impose dès le petit-déjeuner pour mon  plus grand plaisir. Mes genoux lui appartiennent.
Elle est tendre à souhait quand elle vous chatouille le visage avec ses moustaches pour vous réveiller.
Elle ne sait pas vraiment ronronner, ça fait d'elle un chat unique.
Elle me détruit tous mes pulls en "patinant" mais c'est pas grave c'est par amour.
Elle s'impose quand je suis à l'ordinateur. Encore une fois, mes genoux lui appartiennent.
Elle est toujours propre et sent toujours bon, excepté peut-être, je dois bien l'avouer, quand elle vient de manger et quand elle baille.

Elle aime la brioche, la mousse au caramel, les raisins secs, le ketchup mais pas le poisson.
Elle ne tolère aucune autre forme de vie animalière sur son territoire mais ce n'est pas pour autant qu'elle se bat, elle préfère nous prévenir pour qu'on vienne la défendre (depuis qu'elle a vu qu'on jetait des verres d'eau sur  les visiteurs agressifs, elle sait qu'on est là pour elle).
Elle ne sait pas chasser. Observer, c'est plus simple.



Elle joue comme un chaton.

Salvia cat on Flickr


Elle pense être impressionnante quand elle se met à grogner comme un chien quand la porte sonne.
Elle dort, beaucoup, dans des positions et des endroits improbables et je pourrais la regarder, comme ça, des heures.




T. TAURI via Flickr
Elle est bienveillante.


My sweet cat

Elle se passionne pour des choses improbables (va du crouton de pain à la télé en passant par l'ordinateur)



Elle rentre tous les soirs mais se la joue insaisissable quand elle sait qu'on part en vacances, elle s'en fiche, elle sait très bien qu'on l'attendra (côté sournois ++), qu'on ne partira pas tant qu'elle ne sera pas rentrée.




Elle s'impose au coucher, quitte à t'attendre, assise, devant le lit, c'est son rituel.

Theskywatcher via Flickr

Bref, mon chat est extra au point de convertir les anti-chats parce qu'en fait, mon chat, c'est un chat-chien (cf, la bienveillance, le grognement, la fidélité et l'affection dont elle fait preuve).


Ca fait un peu post "love", j'avoue mais ça doit la être la Brigitte Bardot qui someille en moi.
Mon chat a une vie de rêve, c'est un peu grâce à nous, c'est vrai, mais elle nous le rend bien.

Mon chat est une  princesse  mais je  l'aime (la phrase de conclusion gnan-gnan à souhait, promis, je ne conclue pas avec une chanson pathétique).

C'était l'instant câlin-trop-chou-j'aime-tes-moustaches-chat-chat-mais-promis-j'en-refait-plus-un-comme-ça.

mercredi 1 décembre 2010

Beauté(s)

Parfois, les mots deviennent superflus.


















En parlant de beauté, chez eye know il y a matière.